dans les allées de l’indécision, j’existe.
Oiseaux farouches sont les mots,
plutôt l’écriture est tatouage d’un corps invisible ;
et le Texte m’attendait dans les édens de mon cœur.
Le mot m’a abandonné,
le miroir de la sagesse s’est brisé ;
plume sans encre, je subsiste.
Et je suis ce que je suis.
Le rêve s’est arrêté sur le fleuve d’un oreiller.
Peu de proximité,
tant d éloignement
éloignement, éloignement...
1 commentaires:
c est vraiment beau imane
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