Seul, tu vois les murs comme des sécateurs sadiques
qui tranchent la cascade de mon âme ;
ces portes sont glissades vers l'errance ,
ô fenêtres ! vous êtes des sentiers fallacieux
et vos barreaux , des spectateurs crucifiés ;
les rideaux m'expatrient.
Chaque toile est trame d'un secret ,
d'une lumière ou d'un talion tragique !
qui tranchent la cascade de mon âme ;
ces portes sont glissades vers l'errance ,
ô fenêtres ! vous êtes des sentiers fallacieux
et vos barreaux , des spectateurs crucifiés ;
les rideaux m'expatrient.
Chaque toile est trame d'un secret ,
d'une lumière ou d'un talion tragique !
Ô homme ! offrande d'un destin belliqueux .
Seul, tu vois l'univers danser dans un mandore psychotique !
D'une vérité que l' homme ignore, le silence raconte !
Voici le miroir de mon âme chatoyante
tantôt une terre et une eau
tantôt une page et une plume .
Ô parois, virgules audacieuses, déchirez ces murs qui broient !
Ô couleurs, cartes identitaires , peignez ces reliefs qui noircissent !
Toi, peintre de la ville inconnue aiguise ton pinceau
et dessine la topographie de mon imaginaire !
Toi, poète de la ville inconnue chante, avec brio,
l'hymne des murs étanches et des abîmes farouches .
tantôt une terre et une eau
tantôt une page et une plume .
Ô parois, virgules audacieuses, déchirez ces murs qui broient !
Ô couleurs, cartes identitaires , peignez ces reliefs qui noircissent !
Toi, peintre de la ville inconnue aiguise ton pinceau
et dessine la topographie de mon imaginaire !
Toi, poète de la ville inconnue chante, avec brio,
l'hymne des murs étanches et des abîmes farouches .
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